Découverte

De sa voix, elle me dirigea ensuite vers la pièce où elle allait m’initier à la domination. Je sentis que la température était un peu plus chaude que dans l’entrée. Elle m’ordonna :

« Déshabillez vous ! »

J’ôtai ma veste, ma chemise, mes chaussures, mon pantalon.

« Je vous ai demandé de vous déshabiller entièrement ! »

Il ne me restait plus que mon boxer. Je laissai ma pudeur de côté et le fit glisser le long de mes jambes.. Elle débarrassa le sol de mes vêtements et revint me détailler.

« Mmmmm, vous êtes plutôt joli garçon » dit-elle en tournant autour de moi. Comme j’aimais entendre le bruit de ses talons sur le sol…

Je sentis le contact d’un objet souple sur ma peau. Immédiatement, je compris qu’elle parcourait mon corps avec la cravache qui m’avait tant fait fantasmer. Elle la passa d’abord sur ma gorge, puis sur mon torse et mon ventre. Elle me contourna pour aller s’occuper de mes fesses.

La caresse de la cravache fût un peu plus appuyée.

« Jolies fesses, on voit que vous faites du sport. »

La cravache s’abattit d’un coup sec sur ma fesse gauche.

« Et fermes en plus… Maintenant, à genoux !»

Je me laissai tomber au sol.

« Mains derrière le dos. »

J’obéis. Mes poignets firent ainsi la connaissance de ses célèbres menottes d’acier.

« Je vous rappelle qu’à tout moment vous pouvez interrompre la séance ».

La cravache vint se loger entre mes jambes.

« Vous semblez avoir un bel organe, voyons ce qu’il donne quand il est bien développé ».

La cravache parcourait mon sexe avec délicatesse, et malgré la froideur du cuir, je commençai à être franchement excité ! Mon pénis gonflait de plus en plus, elle maniait la cravache avec brio et savait à quel moment flatter mes bourses, effleurer mon gland pour faire grandir mon érection.

« Dites-moi, vous êtes-vous déjà caressé en pensant à moi ? »

« … »

« Répondez ! »

« Oui… »

« Oui qui ? »

« Oui Madame Noire »

« Oui Madame Noire quoi ? »

« Oui Madame Noire je me suis déjà caressé en pensant à vous. »

« Vous les hommes vous ne dites pas caresser quand vous pensez à une femme, vous n’êtes pas assez raffinés. Alors qu’avez-vous fait ? »

« Madame Noire, je me suis branlé en pensant à vous. »

« Avez-vous joui ? »

« … »

« Je vous demande si vous avez joui en pensant à mon cul, mes seins, mon sexe ! »

« Oui Madame Noire j’ai joui… »

La cravache cingla mon gland, la douleur fut intense.

« A partir de maintenant, vous ne jouirez grâce à moi que quand je vous en aurai donné l’autorisation, c’est compris ? »

« Oui… »

« Oui qui, oui quoi ? »

« Oui Madame Noire je ne jouirai grâce à vous qu’avec votre permission. »

« Bien ! Et maintenant, penchez vous jusqu’à toucher le sol avec votre visage. »

Je me penchai en avant. Heureusement, Madame Noire avait eu la bonté de poser un coussin au sol, et je me retrouvai la tête dans le coussin et le cul en l’air. C’est alors que je sentis la cravache entre mes fesses, elle se préparait à m’explorer…


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