Aveux intimes d'une jeune femme
J'ai connu mon premier "vrai" rapport sexuel, celui du dépucelage, à l'âge de 17 ans.
Je sortais avec un garçon depuis deux mois. Nous formions un couple et c'était donc avec lui que je devais franchir le pas.
A cette époque, j'étais sous l'influence inconsciente des codes de moralité de notre culture machiste. J'étais une vraie fille. Je ne devais offrir mon corps qu'à quelqu'un de confiance, quelqu'un qui en serait digne.
Malgré le choix du partenaire, j'ai eu la sensation de m'être faite avoir.
Je vivais pour la première fois les difficiles épreuves de la relation amoureuse et notamment celles de la soumission sentimentale. La pire ... Celle qui vous empêche d'être vous-même.
Fort heureusement, j'ai fini par reprendre le dessus. La lassitude a terni l'amour, me faisant prendre du recul et à mon tour, dominer.
Le sexe n'en a été que meilleur.
J'ai mis un terme à cette relation au bout de 2 ans et demi quand la domination n'était devenue que mépris et dégoût.
Puis j'ai rencontré l'homme qui allait devenir mon mari et avec lequel je suis restée 10 ans.
Durant tout ce temps, j'ai connu l'échangisme, la bisexualité, le milieu SM et l'infidélité.
L'échangisme ou mélangisme était pour moi un jeu que j'aimais pratiquer entre amis. Nous fréquentions occasionnellement les clubs libertins mais je n'ai jamais voulu "baiser" avec des inconnus. J'ignorais encore pourquoi. Je suppose aujourd'hui que je me refusais de représenter le cliché de la soumission sexuelle féminine véhiculé par les idées machistes de notre société. Je ne voulais pas être une "salope". Et puis surtout cela ne correspondait pas à mes fantasmes.
C'est à cette époque que j'ai connu un vrai rapport bisexuel. Depuis toute jeune, j'étais attirée par le corps des femmes. J'ai souvent embrassé mes copines et j'adorais cela. Et là enfin, j'ai pu toucher, caresser et lécher une femme. Je ne suis pas bisexuelle, dans le sens où je ne ressens pas de sentiments amoureux pour une femme. Je ne recherche pas non plus à avoir des rapports sexuels avec une femme. En réalité, ce n'est pas la bisexualité qui m'intéresse mais plutôt la plurisexualité. Je crois que je n'aimerai pas coucher avec une femme s'il n'y a pas un homme avec nous.
C'est aussi à cette époque que j'ai mis un pied dans le milieu SM. Nous étions fréquemment invités aux soirées parisiennes. J'ai découvert un monde nouveau qui étrangement me semblait familier. Je regardais ces corps à moitié nus se déplacer à 4 pattes aux pieds de leurs Maîtres et Maîtresses, obéissant au moindre de leurs ordres avec vénération. Ils se faisaient attacher, fouetter, humilier sous mes yeux admiratifs. Je n'ai jamais pratiqué à cette époque.
Puis, j'ai tout laissé tomber pour redevenir une épouse exemplaire.
A un détail près, j'ai été infidèle. J'ai eu 3 liaisons extra-conjugales.
La première était sentimentale. J'étais sur le point de me marier. Elle a cessé dans les pleurs mais c'était bien mieux ainsi. Nous n'étions pas faits l'un pour l'autre.
La deuxième n'a été que purement sexuelle. Pendant 2 mois, j'ai pris le plaisir que je ne trouvais plus à la maison. Cette liaison s'est finie rapidement comme toutes les histoires sans amour.
La troisième a mis un terme à mon mariage. Ma plus grosse erreur.
Je ne suis pas une infidèle dans l'âme. Je suis plutôt une passionnée, une véritable amoureuse.
L'infidélité est pour moi une façon d'espérer de trouver un meilleur ailleurs et elle n'arrive simplement que quand il est trop tard de sauver ce que nous avons ici.
C'est mon point de vue et j'ai bien conscience que beaucoup de gens, notamment les hommes, ne le partagent pas ; qu'il s'agit pour eux d'un simple divertissement qui peut durer toute une vie.
Je sortais avec un garçon depuis deux mois. Nous formions un couple et c'était donc avec lui que je devais franchir le pas.
A cette époque, j'étais sous l'influence inconsciente des codes de moralité de notre culture machiste. J'étais une vraie fille. Je ne devais offrir mon corps qu'à quelqu'un de confiance, quelqu'un qui en serait digne.
Malgré le choix du partenaire, j'ai eu la sensation de m'être faite avoir.
Je vivais pour la première fois les difficiles épreuves de la relation amoureuse et notamment celles de la soumission sentimentale. La pire ... Celle qui vous empêche d'être vous-même.
Fort heureusement, j'ai fini par reprendre le dessus. La lassitude a terni l'amour, me faisant prendre du recul et à mon tour, dominer.
Le sexe n'en a été que meilleur.
J'ai mis un terme à cette relation au bout de 2 ans et demi quand la domination n'était devenue que mépris et dégoût.
Puis j'ai rencontré l'homme qui allait devenir mon mari et avec lequel je suis restée 10 ans.
Durant tout ce temps, j'ai connu l'échangisme, la bisexualité, le milieu SM et l'infidélité.
L'échangisme ou mélangisme était pour moi un jeu que j'aimais pratiquer entre amis. Nous fréquentions occasionnellement les clubs libertins mais je n'ai jamais voulu "baiser" avec des inconnus. J'ignorais encore pourquoi. Je suppose aujourd'hui que je me refusais de représenter le cliché de la soumission sexuelle féminine véhiculé par les idées machistes de notre société. Je ne voulais pas être une "salope". Et puis surtout cela ne correspondait pas à mes fantasmes.
C'est à cette époque que j'ai connu un vrai rapport bisexuel. Depuis toute jeune, j'étais attirée par le corps des femmes. J'ai souvent embrassé mes copines et j'adorais cela. Et là enfin, j'ai pu toucher, caresser et lécher une femme. Je ne suis pas bisexuelle, dans le sens où je ne ressens pas de sentiments amoureux pour une femme. Je ne recherche pas non plus à avoir des rapports sexuels avec une femme. En réalité, ce n'est pas la bisexualité qui m'intéresse mais plutôt la plurisexualité. Je crois que je n'aimerai pas coucher avec une femme s'il n'y a pas un homme avec nous.
C'est aussi à cette époque que j'ai mis un pied dans le milieu SM. Nous étions fréquemment invités aux soirées parisiennes. J'ai découvert un monde nouveau qui étrangement me semblait familier. Je regardais ces corps à moitié nus se déplacer à 4 pattes aux pieds de leurs Maîtres et Maîtresses, obéissant au moindre de leurs ordres avec vénération. Ils se faisaient attacher, fouetter, humilier sous mes yeux admiratifs. Je n'ai jamais pratiqué à cette époque.
Puis, j'ai tout laissé tomber pour redevenir une épouse exemplaire.
A un détail près, j'ai été infidèle. J'ai eu 3 liaisons extra-conjugales.
La première était sentimentale. J'étais sur le point de me marier. Elle a cessé dans les pleurs mais c'était bien mieux ainsi. Nous n'étions pas faits l'un pour l'autre.
La deuxième n'a été que purement sexuelle. Pendant 2 mois, j'ai pris le plaisir que je ne trouvais plus à la maison. Cette liaison s'est finie rapidement comme toutes les histoires sans amour.
La troisième a mis un terme à mon mariage. Ma plus grosse erreur.
Je ne suis pas une infidèle dans l'âme. Je suis plutôt une passionnée, une véritable amoureuse.
L'infidélité est pour moi une façon d'espérer de trouver un meilleur ailleurs et elle n'arrive simplement que quand il est trop tard de sauver ce que nous avons ici.
C'est mon point de vue et j'ai bien conscience que beaucoup de gens, notamment les hommes, ne le partagent pas ; qu'il s'agit pour eux d'un simple divertissement qui peut durer toute une vie.