Mon Homme, Mon Maître
Puisque vous voici
Entrer dans mon errante vie
Par un joli jour d’hiver
J’ai déposé ma fierté et mes envies
Pour ne plus rêver qu’à vous plaire
Puisque vous voilà
Impitoyablement joueur
Vous emparant de mon âme
Apprivoisant mon pauvre cœur
J’ai du rendre les armes
Puisque nous voici
Faux et doux amants
Attachés sans aucun lien
Que vais-je faire maintenant ?
Ne pas penser à demain
Puisque me voilà
A m’inventer des rimes
A craindre encore et toujours
De commettre le pire des crimes
Provoquer votre fuite atroce sans retour
Puisque vous voici
A jamais adoré
Je ne peux que vous remettre
Ma liberté vénérée
Mon Homme, Mon Maître