Il y a des dates qui laissent des traces
Leurs anniversaires remettent les idées en place
Et trois de suite, ça glace !
Le temps passe mais rien ne s'efface
Chaque année, je me les prends en pleine face
Dis-moi, c'est quand que tu te casses ?
"83% des femmes divorcées ne retrouvent pas de mari"
Je comprends maintenant pourquoi les femmes qui découvrent l'infidélité de leur époux ne veulent pas demander le divorce...
Pourtant, c'est drôle de rejoindre le clan des divorcées, c'est même hilarant.
J'ai vu la pièce à ses débuts, à la Grande Comédie. Aujourd'hui, elle se joue au Palace (racheté par l'auteur de la pièce et son frère, Alil et Aziz Vardar) et en tournée depuis 5 ans en en France.
Je crois n'avoir jamais autant ri de ma vie. Elle est passée ce soir sur France 4. Courrez la voir, vous ne serez pas déçus. Parole de Mme Noire !
Je me la joue Brune ce soir, avec un test pour connaître mon âge intérieur.
Alors ?
| entre 16 et 18 ans, l’âge de la révolte ! | ||
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Il y a les prêts ponctuels, les jeux de plaisir, les rencontres planifiées, les désirs intéressés, les vocations uniques, la légèreté personnelle, la solitude trompée, la liaison hôtelière
Et il y a le don permanent, les paris sur l'avenir, l'omniprésence spontanée, l'intérêt des désirs, les ambitions partagées, l'engagement mutuel, la complétude fidèle, la relation sincère
Au milieu, ne coule rien
Il ne peut rien y avoir !
Il ne peut plus rien y avoir...
Le roseau épuisé de plier sans jamais rompre attend désespérément que ce prétentieux de chêne qui le nargue s'arrache (de là)
La Fable se produira-t-elle ?
C'est un endroit comme on en trouve partout.
Les gens y séjournent une nuit, une semaine, ou plus longtemps, et d'autres y restent.
Le mien n'est pas plus beau, il n'est pas plus agréable, il n'est pas mieux fréquenté.
Mais c'est le mien.
Depuis presque deux décennies que je le fréquente régulièrement, je l'ai vu évoluer avec son époque.
D'abord basique et plutôt austère, son confort est devenu moderne pour répondre aux besoins d'une "clientèle" de plus en plus exigeante.
Les murs gris et ternes se sont colorés de teints pastels, les chambres se sont agrandies en même temps qu'elles sont devenues plus intimes, les sanitaires collectifs ont laissé la place à des salles de bain spacieuses et fonctionnelles.
J'ai aussi vu les nouvelles technologies faire leur entrée au fil de leur évolution. Aujourd'hui, la télévision est câblée. Tout ce qui était commandé manuellement l'est désormais à distance, des volets posés aux immenses fenêtres au lit ergonomique entièrement réglable par boutons électriques.
L'accueil est chaleureux et personnalisé. On vous appelle par votre nom et on sait précisément qui vous êtes et ce que vous venez faire. Bien que le professionnalisme des équipes ait toujours été irréprochable, il endosse désormais une écoute et un esprit de service nouveaux.
Un soin tout particulier est porté à votre bien-être tout au long du séjour. Le petit-déjeuner est servi au lit par un personnel attentif et attentionné, disponible 24 heures sur 24 sur simple appel.
C'est un endroit un peu spécial qui me cabosse. J'y connais mes plus grandes peurs, mes plus fortes colères, mes plus profondes tristesses.
Mais c'est un lieu propice à l'introspection, qui me permet de me recentrer sur moi, sur mon essentiel, d'être un peu plus proche de mon corps, de le regarder vivre, de l'écouter s'exprimer, de le sentir souffrir, de le comprendre, de l'accepter.
Un lieu qui m'enseigne l'humilité, la petitesse et la faiblesse de mon enveloppe mais aussi la force de mon esprit.
Un lieu qui m'apprend la solitude, que quoiqu'il m'arrive de bien ou de mal, je suis toujours seule face à moi-même.
Un lieu où la réalité cesse d'être entachée d'illusions. Les espoirs peuvent être grands, infimes, ou inexistants mais ils y sont toujours justes.
C'est un endroit comme on en trouve partout. Peut-être en connaissez-vous un.
Mais le mien, je ne le changerai pour aucun autre.
Je le connais par cœur,
Il me reconnait à chacune de mes visites.
J'y en ai passé de mes nuits !
Alors j'y finirai sûrement mes jours.
Je pourrais m'y sentir chez moi
Si ce n'était pas un hôpital.
Les gens y séjournent une nuit, une semaine, ou plus longtemps, et d'autres y restent.
Le mien n'est pas plus beau, il n'est pas plus agréable, il n'est pas mieux fréquenté.
Mais c'est le mien.
Depuis presque deux décennies que je le fréquente régulièrement, je l'ai vu évoluer avec son époque.
D'abord basique et plutôt austère, son confort est devenu moderne pour répondre aux besoins d'une "clientèle" de plus en plus exigeante.
Les murs gris et ternes se sont colorés de teints pastels, les chambres se sont agrandies en même temps qu'elles sont devenues plus intimes, les sanitaires collectifs ont laissé la place à des salles de bain spacieuses et fonctionnelles.
J'ai aussi vu les nouvelles technologies faire leur entrée au fil de leur évolution. Aujourd'hui, la télévision est câblée. Tout ce qui était commandé manuellement l'est désormais à distance, des volets posés aux immenses fenêtres au lit ergonomique entièrement réglable par boutons électriques.
L'accueil est chaleureux et personnalisé. On vous appelle par votre nom et on sait précisément qui vous êtes et ce que vous venez faire. Bien que le professionnalisme des équipes ait toujours été irréprochable, il endosse désormais une écoute et un esprit de service nouveaux.
Un soin tout particulier est porté à votre bien-être tout au long du séjour. Le petit-déjeuner est servi au lit par un personnel attentif et attentionné, disponible 24 heures sur 24 sur simple appel.
C'est un endroit un peu spécial qui me cabosse. J'y connais mes plus grandes peurs, mes plus fortes colères, mes plus profondes tristesses.
Mais c'est un lieu propice à l'introspection, qui me permet de me recentrer sur moi, sur mon essentiel, d'être un peu plus proche de mon corps, de le regarder vivre, de l'écouter s'exprimer, de le sentir souffrir, de le comprendre, de l'accepter.
Un lieu qui m'enseigne l'humilité, la petitesse et la faiblesse de mon enveloppe mais aussi la force de mon esprit.
Un lieu qui m'apprend la solitude, que quoiqu'il m'arrive de bien ou de mal, je suis toujours seule face à moi-même.
Un lieu où la réalité cesse d'être entachée d'illusions. Les espoirs peuvent être grands, infimes, ou inexistants mais ils y sont toujours justes.
C'est un endroit comme on en trouve partout. Peut-être en connaissez-vous un.
Mais le mien, je ne le changerai pour aucun autre.
Je le connais par cœur,
Il me reconnait à chacune de mes visites.
J'y en ai passé de mes nuits !
Alors j'y finirai sûrement mes jours.
Je pourrais m'y sentir chez moi
Si ce n'était pas un hôpital.
J'ai un poste mais pas de fiche de fonction
C'est comme avoir un rôle sans scénario
Je crois savoir ce que j'ai à faire
Je compose selon mon instinct, j'improvise selon mes envies
Je crois le faire bien, je crois faire tout
Et si jamais, j'en faisais trop ? (Tant mieux pour eux, tant pis pour moi ?)
Et si je n'en faisais pas assez (Tant mieux pour moi, tant pis pour eux ?)
Ou si je le faisais mal ? (Tant pis pour tout le monde ?)
Peut-on me récompenser ou me blâmer ?
Et peut-on changer d'orientation, modifier ce qui n'a jamais été annoncé ?
Comment pourrais-je trouver ma juste place si je ne fais que deviner ?
Comment reconnaître l'injustice ou exiger si j'ignore ce qui me revient de droit ?
La situation doit les arranger
Sauf que ma vie, ce n'est pas un métier...
Tout arrive !
Au bout 2 ans, 4 mois, 4 semaines et 1 jour d'existence
Et 549 publications
Ce blog a reçu, en ce jour mémorable
A 11h10
Son premier commentaire injurieux
Alleluïa !
Pour les curieux, ça se passe là
Au bout 2 ans, 4 mois, 4 semaines et 1 jour d'existence
Et 549 publications
Ce blog a reçu, en ce jour mémorable
A 11h10
Son premier commentaire injurieux
Alleluïa !
Pour les curieux, ça se passe là
Des vidéos sculptées, Warhol à la télé,
Il faut pouvoir capter
Je ne suis pas contemporaine
Parfois, ça me gène
La Maison n'était pas Noire
Ceci explique sûrement cela
Mais la rencontre valait bien un petit marathon
Il faut pouvoir capter
Je ne suis pas contemporaine
Parfois, ça me gène
La Maison n'était pas Noire
Ceci explique sûrement cela
Mais la rencontre valait bien un petit marathon
La Liberté miniaturisée lui fait face
De là, je m'échappe
Rêver
C'est déjà ça
Je n'aime pas les pique-assiettes
Tous ces gens qui se croient prioritaires,
Ils me volent ma place, mon air
Ils ne sont pas plus légitimes que moi !
Rêver
C'est déjà ça
Je n'aime pas les pique-assiettes
Tous ces gens qui se croient prioritaires,
Ils me volent ma place, mon air
Ils ne sont pas plus légitimes que moi !
Il n'est pas là, il ne sera plus jamais là
Le temps hémophile, coule
Je m'isole, je n'ai plus d'autre choix
je vogue
Je suis dans une belle ville
C'est déjà ça
Le temps hémophile, coule
Je m'isole, je n'ai plus d'autre choix
je vogue
Je suis dans une belle ville
C'est déjà ça
[...]
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
C'est déjà ça - Alain Souchon (1993)
Et tous ces parasites sur mon chemin
Rendent flou mon objectif
Me gâchent l'horizon.
Ils cherchent tous un petit coin de paradis d'où contempler la beauté de l'éternité dont ils sont exclus.
Ils s'activent, s'accumulent - ils sont si nombreux ! - se démènent, s'entremêlent, se malmènent, pour une part de rêve éphémère.
A quoi leur sert-il de chercher une place au soleil alors qu'ils se font tous de l'ombre ?
Ils feront toujours de l'ombre.
Je cherche désespérément un nouvel angle de vue, mais je ne vois pas à un jour devant moi.
Il faut que je m'éclipse.
Il y a trop de parasites autour de moi.
Tout ce que je voulais c'était la paix de ce lac
La fierté de la butte
Un peu d'espoir devant la chute
Et une main
Une main caressant mon épaule comme pour me dire "je suis là, tout ira bien"...
Le parc des Buttes-Chaumont
J'ai fait une découverte surprenante presque archéologique limite surnaturelle ce midi dans une crêperie
Non, non, pas un crâne de Roswell gravé sur un menhir
Mais l'existence d'un homo sapiens avec des couilles
Certaines maîtresses ont plus de chance que d'autres........ à moins qu'elles ne soient juste plus futées !
J'ai pris du poids dans la cuisse
J'aurais préféré du plomb dans l'aile
J'ai trop négligé mon corps
Et moi avec
Je suis remontée sur mon vélo ce matin
Enfin, cet après-midi (c'est forcément le matin quand je me lève)
Histoire de... Histoire de quoi ?
J'ai pédalé sans but pendant une heure
Avec cette putain d'impression de faire du sur-place
Et de m'épuiser pour rien
Maintenant, j'ai mal au cul
Exactement comme dans ma vie
Et le César de la meilleure figurante revient à :
Madame Noire !
Pour son rôle de Didelot
dans le film de série B "Un jour peut-être... dans tes rêves"
Madame Noire !
Pour son rôle de Didelot
dans le film de série B "Un jour peut-être... dans tes rêves"
"Cette récompense m'honore.
[Snif !]
J'ai eu à cœur de préparer ce rôle pendant des années [Snif] et je suis très émue ce soir [Snif snif].
Je voudrais remercier le scénariste, le metteur en scène, le réalisateur de m'avoir fait confiance. Leur talent a permis de révéler le mien.
Sans eux, je ne serais rien, rien du tout, [Snif] ou tout juste une jeune femme épanouie.
[Snif snif snif snif].
Merci ! Merci à tous !!!
Et je vous donne rendez-vous l'année prochaine..."
[Snif !]
J'ai eu à cœur de préparer ce rôle pendant des années [Snif] et je suis très émue ce soir [Snif snif].
Je voudrais remercier le scénariste, le metteur en scène, le réalisateur de m'avoir fait confiance. Leur talent a permis de révéler le mien.
Sans eux, je ne serais rien, rien du tout, [Snif] ou tout juste une jeune femme épanouie.
[Snif snif snif snif].
Merci ! Merci à tous !!!
Et je vous donne rendez-vous l'année prochaine..."
Mon décodeur déconne
Je ne capte plus
Il leur faut du numérique, de l'électronique, du supersonique, de la bio-nique, de l'atomique, de la politique, de l'économique, du stratégique, de l'obstétrique, du patriotique, du touristique, du symétrique anorexique
Et du fric, plein de fric, toujours plus de fric
Ils sont automatiques
Et du fric, plein de fric, toujours plus de fric
Ils sont automatiques
Mon translator est mort
Je suis anachronique
Je verserais bien de l'arsenic dans leur génétique
Et ce n'est pas ironique !
Ras le bol des bien-veillants. Ce ne sont que des bien-pensants !
De tous ceux qui savent tout mieux que tout le monde.
De ceux qui jugent en croyant conseiller.
Et encore plus de ceux qui disent agir pour le bien d'autrui.
Qu'est-ce qu'ils en savent de mon bien, ces égoïstes ?
En quoi ils y contribuent, ces hypocrites ?
Je n'ai qu'une seule vie.
Et je les emmerde s'ils pensent que je la gâche.
Je ne fais que leur renvoyer à la gueule leur propre médiocrité.
On fera le bilan dans quelques années.
Et je suis persuadée que, sur mon lit de mort, ce sera de rire que je trépasserai...
Mme Noire quelque peu excédée.
De tous ceux qui savent tout mieux que tout le monde.
De ceux qui jugent en croyant conseiller.
Et encore plus de ceux qui disent agir pour le bien d'autrui.
Qu'est-ce qu'ils en savent de mon bien, ces égoïstes ?
En quoi ils y contribuent, ces hypocrites ?
Je n'ai qu'une seule vie.
Et je les emmerde s'ils pensent que je la gâche.
Je ne fais que leur renvoyer à la gueule leur propre médiocrité.
On fera le bilan dans quelques années.
Et je suis persuadée que, sur mon lit de mort, ce sera de rire que je trépasserai...
Mme Noire quelque peu excédée.
Sublime femme, 35a, sans enfant, recherche son Valentin,
Jeune, beau, intelligent, drôle, riche et CÉLIBATAIRE.
Pour parties de sudoku en duo et plus si affinités.
Photo jointe ici.
Si intéressé, répondez-moi vite !
Mon cœur se meurt de vous attendre.
On dit souvent que j'ai de la répartie.
Alors je réponds du tag au tag.
5 choses à retenir de 2008 :
- La répétition : mal commencer, mal finir (comme 2007, comme 2009 ?)
- La fatalité : Tout peut changer radicalement (en mal) du jour au lendemain
- L'impuissance : Ne pas me battre, la volonté des autres sera toujours plus forte
- L'injustice : Je ne récolte jamais ce que j'aime
- La dérision : Terrien, juste une poussière
5 choses à oublier de 2008 :
- Les miettes de 2004
- Les effets (personnels) de 2005
- Les relents de 2006
- Les séquelles de 2007
- 2008
5 choses à faire en 2009 :
- Organiser cette p... de soirée entre bloggeurs
- Me mettre au vert, aux verres, aux vers, aux vers
- M(')aigrir
- Ouvrir la chasse
- Subir une lobotomie
Merci Maître Gus !
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